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par Julien Wolfersberger, Chaire Economie du Climat et Laboratoire d’Economie Forestière
Résumé de la thèse en français :
La déforestation dans les pays en développement est responsable d’émissions de carbone, de perte de biodiversité et d’autres dommages environnementaux. Fondée sur des observations empiriques, la transition forestière décrit l’évolution du stock de forêts d’un pays au cours du temps. Sur la base de ce cadre d’analyse, cette thèse étudie les déterminants macroéconomiques structurels de la déforestation. A l’aide d’outils théoriques et empiriques, l’objectif est d’améliorer la connaissance de la concurrence dans l’usage des sols et de l’arbitrage entre présent et futur dans les économies en développement dotées de forêts. Une large partie de cette thèse est consacrée à la discussion sur le design de politiques publiques optimales pour lutter contre la déforestation, comme la mise en place de REDD+