La décision annoncée mardi par le président des États-Unis de suspendre les importations de gaz et de pétrole russes est forte mais ses conséquences seront relativement limitées au pays de l’Oncle Sam. Pour autant, les répercussions ne vont pas manquer, notamment en Europe. Décryptage avec Anna Creti, professeur d’économie à l’université Paris-Dauphine et spécialiste de l’énergie.